Que faire lorsque Facebook est en panne ?

Ce jeudi matin, nombreux sont ceux qui n’ont cessé de rafraichir leur page Facebook pour tenter d’y accéder, mais en vain. En effet, le réseau social était inaccessible ! Si pour vous, cette panne était plus inquiétante que la disparition des abeilles dans le monde, continuez de lire notre blog ;-)

Un réseau social en cache un autre ! Aussitôt la panne avérée, de nombreuses personnes se sont retranchées sur Twitter. Des marques ont sauté sur l’occasion pour faire du buzz comme Oasis ou kit Kat :

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Westin Paris-Vendôme vous fait déconnecter du digital

Après s’être intéressé au Château La Gravière (Chambres d’hôtes) qui proposait un séjour digital detox à la campagne, aujourd’hui, nous nous penchons sur le cas d’un hôtel de luxe en milieu urbain. Il s’agit du Westin Paris – Vendôme.

Julien Kiefer, Hotel Manager, a répondu à nos questions :

Comment est venue cette idée de proposer une offre digital detox au sein de l’hôtel The Westin Paris – Vendôme ?

La marque Westin Hotels & Resorts est très impliquée dans le bien-être de sa clientèle : lors d’un séjour dans l’un de nos hôtels, nous souhaitons que nos clients se sentent mieux à leur départ qu’à leur arrivée. Il a donc semblé naturel de chercher un moyen de permettre à nos clients d’être vraiment « déconnectés » pour profiter d’un séjour relaxant et régénérant.

C’est l’hôtel The Westin Dublin qui a lancé en premier l’idée d’un Digital Detox Package en 2012, après avoir pris conscience de l’augmentation de la dépendance de la population à l’égard des téléphones portables et autres gadgets électroniques. Quelques hôtels resorts de bord de mer proposaient déjà ce genre de « retraites technologiques », le directeur de l’hôtel Fred Smits et ses équipes s’en sont inspirés pour imaginer un package et offrir des services similaires même en plein cœur de Dublin.
Nous avons adopté la même démarche en mars 2014 au sein de l’hôtel The Westin Paris – Vendôme, situé au centre de la trépidante capitale française.

En quoi consiste cette offre digital detox ?

Dès son arrivée, le client est invité à consiwestin-spagner ses téléphones, tablettes, ordinateurs et autres appareils électroniques dans un coffre-fort mis à sa disposition à la réception. L’hôtel propose par la suite des éléments simples qui aident à stimuler les sens et à améliorer l’expérience du client au sein de la destination : nous incluons un massage énergisant de 30min idéal pour soulager cou, trapèzes et pouces endoloris par l’utilisation de nos gadgets, nous offrons la possibilité d’utiliser une tenue complète de sport en partenariat avec New Balance pour se défouler dans la salle de l’hôtel ou à l’extérieur, nous accompagnons également le client avec un plan-guide des parcs, jardins et activités de plein air. Et parce que le bien-être passe aussi par la gourmandise et le plaisir, nous déposons en chambre un coffret de sucreries de la Pâtisserie des Rêves !
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Usage intensif du digital et risques psychosociaux chez les cadres

Usages intensifs du digital

Aujourd’hui, nous nous intéressons à la thèse de Cindy Felio, psychologue du travail et jeune chercheuse en Sciences de l’Information et de la Communication (SIC) à l’Université Bordeaux Montaigne. Elle a réalisé une étude qualitative longitudinale ayant pour titre : « Pratiques communicationnelles des cadres : usage intensif et enjeux psychosociaux ».

Cette étude poursuit un triple objectif : « expliciter les usages du quotidien des cadres en termes de TIC », définir « les risques psychosociaux potentiellement associés à un usage professionnel des TIC » et « identifier les possibles stratégies de faire-face » (Felio, 2011).

Nous avons eu l’occasion d’interviewer Cindy Felio. En voici les propos :

Pourquoi avez-vous choisi cette thématique de thèse ?

Lorsque j’ai pris connaissance d’un appel à candidature pour une thèse associée à un programme de recherche ANR sur le thème des TIC et des risques psychosociaux, je m’y suis d’emblée projetée. Psychologue du travail de formation et vivement intéressée par les innovations techniques, l’idée de m’investir dans ce projet m’est apparue comme une évidence ! D’une part parce que la thématique des risques psychosociaux est sans cesse actualisée, eu égard à sa complexité et sa dimension multifactorielle, et d’autre part, parce que la question des usages numériques dans la sphère professionnelle est profondément contemporaine. La catégorie des cadres semble la plus exposée à cette reconfiguration du travail puisqu’elle est la plus équipée en dispositifs communicationnels par les directions d’entreprise (notamment en Smartphones, ordinateurs portables et connexion sécurisée au réseau de l’entreprise).

Quelle méthodologie avez-vous utilisée dans votre étude ?

Mon objectif consistait à comprendre comment les cadres vivent et se comportent avec ces technologies, et comment ils les pensent. C’est pourquoi j’ai opté pour une méthodologie qualitative qui offrait l’opportunité d’appréhender leur propre vécu. Pour ce faire, j’ai réalisé des entretiens de type « récit de vie » pour connaître et analyser leur histoire avec ces dispositifs. Je me suis notamment intéressée aux événements marquants (positifs comme négatifs) jalonnant leur parcours d’usagers des TIC, en mettant en œuvre la technique des incidents critiques (Flanagan, 1954) ; une méthode qui fête ses 60 ans cette année et que j’ai eu plaisir à actualiser (Felio, 2013, pp. 219-225) ! Ainsi, je me suis entretenue individuellement avec 62 cadres exerçant leurs fonctions en Aquitaine, interview réitérée un an plus tard pour identifier de possibles changements d’usages, de comportements et d’attitudes face aux TIC. En questionnant cet intervalle d’une année séparant les deux entretiens, je me suis aussi intéressée à leur vécu de « sujets d’étude » : puisque les usages numériques sont peu discutés dans les organisations, comment les cadres de l’échantillon ont-ils vécu cette expérience de mise en mots de leurs pratiques dans le cadre d’une recherche en sciences humaines ?
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Un café sans écran et sans WI-FI

Les clients discutent, lisent les journaux et commandent des sandwichs et des expressos au comptoir de l’August First Bakery & Cafe à Burlington dans le Vermont aux USA, mais il y a comme quelque chose de différent. Où habituellement l’on peut apercevoir la lueur des écrans d’ordinateur et le bruit des touches sur les claviers, désormais les appareils digitaux sont bannis.

En effet, le café a décidé tout bonnement d’interdire les écrans et la connexion à internet !

café sans écran

Cependant, lorsque la propriétaire, Jodi Whalen, a ouvert pour la première fois il y a quatre ans, elle offrait initialement du WI-FI gratuit aux clients. Les étudiants se sont massés dans le café et ont commencé à pianoter sur leurs ordinateurs et à rester. Toute la journée.
« Nous avons vu beaucoup de clients rentrer, à la recherche d’une table, incapable d’en trouver une et partir » d’après Jodi Whalen. « C’était une perte d’argent pour nous ».

C’est pourquoi Jodi Whalen décida que dorénavant il n’y aurait plus d’écrans dans son établissement. Il s’agissait d’une transition progressive. Elle commença par ôter le WI-FI il y a deux ans. Puis le café a banni les écrans au déjeuner.

« De nombreuses personnes furent déçues », rapporta la propriétaire. « Mais nous avons en réalité vu nos ventes augmenter »

Bien-être du client ou démarche commerciale ?

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West Web Festival : Digital Detox & Re-start

West Web Festival

Au départ, la West Web Valley est une structure bretonne d’accélération et d’investissement dans le numérique créée par Charles Cabillic, Sébastien Le Corfec et Ronan Le Moal.

Une programmation qui vaut le détour

Puis, est venu l’idée de s’associer au festival des vieilles charrues et de sortir de terre le West Web Festival qui aura lieu les 17 et 18 juillet prochain à Carhaix donc. À ce festival numérique participeront des personnalités du web, telles que : La suite par ici !

Déconnecter pour reconnecter

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